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Violences faites aux femmes : les téléphones des indiennes auront une touche "panique"


Cette initiative a été rendue publique par Ravi Shankar Prasad, le ministre indien des télécommunications, sur son compte Twitter. Cette loi sera effective à partir de janvier 2017. Une fois la touche panique pressée, une alerte à la police et aux personnes choisies par l'utilisatrice sera lancée.Une géolocalisation possible dès 2018Tous les combinés devront également être équipés de la technologie de localisation à partir de 2018. Sur les téléphones portables simples, la touche panique sera activée en pressant le 5 ou le 9 et sur les smartphones en appuyant trois fois sur le bouton de mise en marche.Cette décision intervient dans un climat difficile avec plusieurs incidents graves à l'encontre des femmes qui ont secoué l'opinion publique. Il existe par ailleurs plusieurs applications de sécurité pour les smartphones destinés aux femmes mais le gouvernement a estimé que se rendre sur une application pouvait prendre trop de temps.Malgré tout, cette avancée ne saurait régler à elle seule le problème des violences faites aux femmes puisque dans 70 % des cas les incidents se produisent dans les habitations avec un agresseur connu de la http://ift.tt/1pJgeOA photo : ©CLIPAREA l Custom media/shutterstock.com
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Stress lié au travail : des conséquences lourdes sur notre santé




En 2007, une étude révélait que dans l’Union Européenne, 40 millions de personnes étaient affectées par le stress lié au travail. L’OIT s’est appuyée sur plusieurs études récentes pour dresser un bilan chiffré des conséquences du stress en entreprise sur notre santé. Et les résultats sont plutôt inquiétants.Le stress lié au travail conduit parfois au suicide Plusieurs études citées dans le rapport de l’OIT ont montré que des conditions de travail stressantes pouvaient avoir un impact négatif sur le bien-être des salariés et sur leur santé. L’exposition à un stress élevé augmente le risque de développer des troubles psychologiques comme l’épuisement, l’anxiété, la dépression ou encore le burnout, mais aussi physiques comme les maladies cardiovasculaires ou des troubles musculo-squelettiques. Un certain nombre de suicides seraient également imputables au stress au travail, selon l’OIT. D’un point de vue économique, en Europe, la dépression liée au travail représente un coût de 617 milliards d’euros par an. Cette somme colossale englobe les coûts de l’absentéisme, la perte de productivité, les coûts des soins de santé et les dépenses sociales. En 2009, une étude avait démontré que 50 à 60 % des journées de travail perdues en Europe étaient liées au stress au travail.La crise économique et les communications instantanées pointées du doigtComment en sommes-nous arrivés là ? Selon l’OIT, plusieurs facteurs ont contribué à l’augmentation du stress lié au travail. L’Organisation les appelle les "risques psychosociaux". Ainsi, la concurrence accrue, la précarisation de l’emploi, les cadences de travail rapides et intensives, les horaires de travail irréguliers et chargés, des exigences professionnelles plus élevées…sont souvent à l’origine d’un état de stress au travail. Ces facteurs seraient eux-mêmes la conséquence de la récente crise économique mondiale qui a poussé les entreprises à rester compétitives dans un contexte de récession.La crise n’est pas la seule responsable. L’OIT pointe également du doigt l’intrusion de la vie professionnelle dans la vie privée liée notamment à l’explosion des communications instantanées. "Les lignes de séparation entre le travail et la vie privée sont de plus en plus difficiles à identifier", dénonce le rapport. Ainsi, en janvier 2016, une étude révélait que les personnes qui avaient accès à leurs mails pros sur leur smartphone étaient plus stressées que les autres.Parmi les secteurs les plus touchés par le stress lié au travail, on retrouve l’éducation, la santé et l’agriculture.Des mesures pour soulager le stress au travailHeureusement il existe plusieurs moyens d’enrayer le phénomène du stress lié au travail, rappelle l’OIT dans son rapport :- Développer des campagnes de sensibilisation sur le stress lié au travail.- S’attaquer aux facteurs de risque en mettant en place des mesures collectives et individuelles- Intégrer davantage les salariés dans les processus de décision de l’entreprise et leur donner plus d’autonomie. Cela contribue à leur donner une meilleure estime d’eux-mêmes et entraîne une diminution de la pression psychologique.- Mettre en place un système de gestion de la sécurité et de la santé au travail qui prendrait en compte les risques psychosociaux.- Améliorer l’environnement social au travail. Les Ressources Humaines doivent s’assurer que les relations de travail sont fondées sur la confiance, l’authenticité et le partenariat.Annabelle IglesiasSource : Stress au travail : un défi collectif, Organisation internationale du travail (OIT), 27 avril 2016 (rapport disponible en ligne).

Les 6 astuces validées par la science pour booster son niveau de bonheur




Marcher dans la natureDes études menées par l'Université de Stanford  montrent que les balades dans la nature peuvent non seulement nous rendre plus heureux, mais aussi diminuer notre tendance à ruminer et à brasser des pensées négatives. Si le soleil est de la partie, l'effet bonne humeur n'en sera que décuplé. D'autres travaux issus de la même université montrent que la marche à pied peut également favoriser la créativité. L'inspiration serait même augmentée de 60 % en marchant.Bouger sans modérationFaites de l'exercice : le mouvement chasse la morosité. Les niveaux de transmetteurs, dont la dopamine, augmentent après un exercice vigoureux, ce qui aide à augmenter la sensation de calme et la capacité de concentration. Combiner des séances de méditation et de sport deux fois par semaine pendant 2 mois réduit les symptômes associés à la dépression de 40 %, selon une étude américaine parue en février dans la revue Translational Psychiatry. On peut aussi bien faire une bataille de polochon, danser dans son salon ou pratiquer son sport favori. Depuis la nouvelle loi santé française, le sport est même prescrit sur ordonnance  par les médecins visant à améliorer la santé physique et mentale.Écouter de la musique qui donne des frissonsVectrice d'émotions par excellence, la musique est capable d'induire des frissons, précédés par la libération de dopamine dans le cerveau, nous apprennent des scientifiques canadiens de la Mc Gill University. Elle active les mêmes circuits neuronaux du plaisir et de la récompense que la nourriture, les drogues ou le sexe. On comprend mieux pourquoi la musicothérapie est utilisée pour gérer la douleur et améliorer les fonctions cognitives des personnes âgées notamment.Manger du chocolatRéputé pour doper le moral et lutter contre la fatigue, on ne compte plus les vertus du chocolat. Comme la musique, croquer quelques carrés de chocolat est associé à une augmentation de la dopamine selon une étude publiée en 2013 dans le journal Obesity. Ne pas hésiter à grignoter avec parcimonie du bon chocolat, contenant 70% de cacao, source importante de phényléthylamine (PEA), dopant qui provoque la sécrétion de dopamine.Donner un coup de mainFaire des heureux rend heureux. L'altruisme, comme le chocolat, la musique et l'exercice, fait aussi monter en flèche la dopamine dans notre cerveau. Offrir un café à la personne à côté de soi, donner son siège à un inconnu dans les transports ou proposer son aide à une personne dans le besoin... Les idées ne manquent pas pour se relier aux autres et se rendre utiles. Le lien social sous toutes ses formes, qu'il s'agisse des relations en famille, en couple, des amis ou des relations au travail, est un des facteurs les plus importants de notre bien-être individuel et collectif. Des scientifiques de l'université de New York (États-Unis) suggèrent que le manque d'interactions réelles peut être un facteur à prendre en compte pour évaluer l'état de santé des individus.Revivre des souvenirs positifs par la méditationDes chercheurs de l'université de Liverpool  en Grande-Bretagne viennent de confirmer l'efficacité du rappel de souvenirs et de l'évocation d'images positives pour générer des émotions positives. En pratiquant cette forme de méditation, chacun peut développer une sorte de bonté et de bienveillance pour soi et autrui. Ces sentiments vertueux permettent d'être plus compatissant envers des stimuli émotionnels négatifs et changer ainsi la façon dont nous interagissons avec notre http://ift.tt/1UiTyl6 BL, Olson RL, Brush CJ, Shors TJ. MAP training: combining meditation and aerobic exercise reduces depression and rumination while enhacing synchronized brain activity. Translational psychiatry 2016 2016; 6, e726 (article en ligne).Nasser JA, Del Parigi A, Merhige K, Wolper C et al. Electroretinographic detection of human brain dopamine response to oral food stimulation. Obesity 2013; 21(5):976-80 (résumé en ligne).

Marc Dorcel offre ses films X à tous ceux qui s'appellent Marc sur Facebook


À l'occasion de la Saint-Marc (25 avril), Dorcel s'offre un joli coup de pub. Afin de d'attirer les amateurs de films pornographiques et les pousser à s'inscrire sur ses plates-formes payantes, la société offre à tous les Marc présents sur le réseau social Facebook un accès gratuit de 60 jours à DorcelClub, son service de streaming. Un cadeau d'une valeur de 60 euros.L'annonce a été faite par l'actrice de films X Anna Polina, dans une vidéo diffusée ce lundi. "Dorcelclub.com n'est plus lié à votre compte Facebook", indique la société de production. Et il n'y a pas d'engagement au-delà de la période d'essai de 60 jours. "Nous ne demandons pas de données bancaires, il n'y a donc pas d'abonnement automatique", explique-t-on chez Dorcel et "l'accès est simplement coupé après les 60 jours."Marc Dorcel explique également sur le site MarcOuRien.com, comment changer de prénom sur Facebook et ainsi profiter de cette offre http://ift.tt/1TaNk1C
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Autisme : vers un meilleur remboursement des soins



Lors de la réunion du comité national autisme, la secrétaire d'Etat en charge du handicap, Ségolène Neuville, a fait différentes annonces. Doctissimo vous les présente.La prise en charge des professionnels actuellement non rembourséeLa mise en place d’un nouveau dispositif pour aider les familles d'enfants autistes à payer les soins non remboursés par la Sécurité sociale. C’était l’une des demandes fortes des parents puisqu’actuellement, la plupart des prestations des psychologues, éducateurs, psychomotriciens... restent à la charge des familles.Les parents "pourront passer une convention ou un contrat avec des structures médico-sociales", qui leur permettront "d'organiser les interventions de ces professionnels à leur domicile à l'école… et de les payer en fonction des prestations directement délivrées aux enfants ou adultes autistes et aux parents" sur des crédits de l’Assurance-Maladie. Les familles devront "proposer ces professionnels à ces pôles" et "elles n'auront plus rien à payer", selon la ministre. Le financement se fera en piochant dans les budgets du plan Autisme non encore dépensés par les ARS. Selon la ministre, ces coûts "pourront aussi être prélevés sur les 15 millions d'euros" attribués en octobre 2015 pour éviter les départs forcés vers la Belgique et améliorer la prise en charge de proximité.La fin du packingLa ministre a rappelé que la pratique du "packing" n’est pas recommandée par la HAS et l’ANESM. L’organisation des nations unies (ONU) a estimé que le "packing" est un acte de maltraitance. Elle a donc annoncé qu’une circulaire sera "adressée aux ARS dans les tous prochains jours indiquant clairement que la signature des contrats d’objectifs et de moyens des établissements médico-sociaux est strictement subordonnée au respect d’engagements de lutte contre la maltraitance, et donc à l’absence totale de pratique du "packing".La formation continue et initiale des professionnels de santéDepuis le début du plan, 3 000 professionnels ont été sensibilisés et formés. L’élaboration d’un cahier des charges en vue a été confiée à l'organisme gestionnaire du développement professionnel continu (OGDPC). Par ailleurs, concernant la formation initiale, des "travaux sont engagés pour la révision des maquettes universitaires des médecins". Cette révision sous la responsabilité de la communauté scientifique doit aboutir en 2017. "La balle est dans le camp des médecins et des professionnels spécialisés dans l'autisme", a déclaré la ministre.Les CRA sévèrement critiqué par l’enquête de l’IGASLe rapport très critique de l’IGAS sur le rôle et l'activité des centres ressources autismes (CRA) a été évoqué. Il avait mis à jour d’importantes disparités régionales, une incroyable hétérogénéité des structures, des relations insuffisantes avec les maisons départementales pour les personnes handicapées ou l’Education nationale, des délais d’attente pour un diagnostic de près d’un an et demi de moyenne, une mauvaise prise en charge des adultes… La ministre a annoncé que toutes les parties prenantes seront réunies autour d’une table d’ici juin pour discuter des propositions de l’IGAS et des mesures à mettre en œuvre.La scolarisation et l’inclusion sociale des enfants autistesSégolène Neuville a souligné le bilan du plan Autisme, en précisant que 5 000 parents auront bénéficié au terme du 3e plan autisme d'une formation d'aidant, tandis que 110 unités d'enseignement en maternelle (UEM) seront ouvertes d'ici juin 2017, accueillant au total 770 jeunes. Le nombre d’enfants et d’adolescents scolarisés a progressé depuis 2008 de 12 000 à plus de 29 000 élèves en 2015/2016. Un progrès certes… mais encore loin d’être suffisant : 80 % des enfants autistes ne sont pas scolarisés. Des réflexions avec le ministère de l’Education et des formations propres auprès des MDPH sont des hypothèses privilégiées.Les adultes autistes vont-ils enfin être aidés ?Reconnaissant que les adultes autistes restent les parents pauvres de la prise en charge, Ségolène Neuville a demandé à Josef Schovanec, souffrant lui-même d’un syndrome d’Asperger, de mener une mission sur l'insertion professionnelle des adultes autistes. Pour augmenter le nombre de places dans les établissements médico-sociaux (17  000 dédiées à l'autisme sur 490 000 places tout handicap), la ministre a demandé aux ARS de prioriser les ouvertures de places (1 584 prévues en 2016, pour 3 615 prévues dans le plan).Enfin, elle a donné rendez-vous fin mai pour le bilan de la Conférence nationale du Handicap, durant lequel "Il reviendra au président de la République de fixer le cap d'une politique du handicap visant une société encore plus inclusive. Le handicap et l’autisme en particulier est une priorité de l’action du Président de la République et du gouvernement. Le rendez-vous annuel de la CNH sera donc certainement un rendez-vous important pour l’autisme en France". Après des années d’attente, on ne doute pas que les familles seront au rendez-vous.David BêmeSource : Discours de Ségolène Neuville - Comité National Autisme - Bilan d’étape du Plan Autisme 2013-2017 - 21 avril 2016

Atteindre l'orgasme dépendrait de notre anatomie


Selon une étude de la littérature médicale sur l’orgasme, les auteurs jugent que 80 % des femmes et 28 % des hommes ont des difficultés à atteindre l’orgasme. Alors que ces problèmes sont le plus souvent mis sur le compte de problèmes psychologiques comme le stress ou l’anxiété, une étude récente souligne que le problème pourrait être plus au niveau du corps que de l’esprit…Un équilibre délicat pour l'hommePour les hommes, la capacité à atteindre l’orgasme réside dans un équilibre délicat entre le système nerveux parasympathique, qui contrôle le corps pendant les périodes de repos, et le système nerveux sympathique, qui prépare la réponse de l’organisme en cas de stress, de lutte ou de fuite (rythme cardiaque et respiratoire accéléré, pupilles dilatées…). En cas d’éjaculation prématurée, on juge que le système sympathique est hyperactif et le système parasympathique hypoactif.Des raisons anatomiques à l'absence d'orgasme chez la femmePour les femmes, les auteurs jugent que le dysfonctionnement est plus souvent physique que nerveux… Selon les chercheurs, plus le clitoris est proche de la paroi vaginale, plus l'orgasme sera probable. Et pour ce faire, certaines positions du Kamasutra seraient à privilégier : le classique missionnaire et la position d’Andromaque (femme dessus). L’angle parfait pour atteindre l’orgasme oscillerait entre 30 et 40°…Une sexualité pas si contrôlable..."Les expériences sexuelles sont supposées être contrôlée par votre attitude : votre confiance, votre capacité à faire confiance, votre ouverture... Et si les différences d'anatomie sexuelle étaient finalement à l’origine de différences en termes d’expériences sexuelles, et si nous ne pouvions pas contrôler notre satisfaction sexuelle autant que nous le pensions ?" s’interroge le Dr Elizabeth Emhardt, de l'université de l'Indiana et principal auteur de l’étude.Vers une prise en charge personnalisée Loin d’avoir une approche fataliste, l’auteur pense qu’en tenant compte des spécificités anatomiques, on pourrait offrir une prise en charge personnalisée pour chaque patiente, afin de l’aider à améliorer sa vie sexuelle… et sa santé car on sait aujourd’hui qu’une vie sexuelle satisfaisante influe sur notre santé.Source: Anatomic variation and orgasm: Could variations in anatomy explain differences in orgasmic success? - Emhardt E, Siegel J, Hoffman L. – Clinical Anatomy - Article first published online: 4 APR 2016 (abstract accessible en ligne)
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Jennifer Aniston plus belle femme au monde selon le magazine People


Elle fait la couverture du magazine qui la décrit comme "la fille magnifique de la maison d'à côté". Elle a expliqué à People, qui l'avait déjà déclarée la plus belle femme au monde en 2004, à 35 ans, que la beauté avait pour elle "vraiment changé au fil des ans"."Il s'agit d'apprendre à tout aimer en vous". Il y a tellement plus dans la beauté que les vêtements et ce qui se passe ici, a-t-elle expliqué en montrant son visage, dans une vidéo sur le site de People.Comment définit-elle la beauté ? "Confiance intérieure. Paix. Gentillesse. Honnêteté. Une vie bien vécue", a-t-elle dit. "Relever les défis et ne pas avoir honte des choses qui n'ont pas marché comme vous pensiez qu'elles auraient dû. Et ne pas se sentir une ratée, ou laisser les gens critiquer votre vie et vous faire penser que vous avez raté quelque chose".Elle a raconté qu'elle avait commencé à prendre soin d'elle au début de sa carrière, quand un agent lui avait refusé un rôle en la trouvant "trop ronde"."Mon alimentation était terrible" a-t-elle reconnu. Elle fait aujourd'hui de l'exercice six jours par semaine et surveille ce qu'elle mange, sans pour autant se refuser de temps en temps chips et guacamole, ou encore les pâtes à la carbonara qu'elle cuisine avec son mari Justin Theroux deux fois par mois. Le couple s'est marié en août dernier."Je ne suis pas aussi stricte que je l'étais", a-t-elle expliqué.Jennifer Aniston et ses co-vedettes étaient devenues à la faveur de "Friends" (1994-2004) les actrices de télévision les mieux payées au monde, à 1 million de dollars par épisode dans la dernière saison, selon le livre Guinness des records.Elle a en parallèle de Friends tourné dans plus de 30 films depuis 1996, dont "L'objet de mon affection" en 1998, "The good girl" en 2002 avec Jake Gyllenhall, "Bruce Tout puissant" en 2003 avec Jim Carrey, "La Rupture" en 2006 avec Vince Vaughn, "Comment tuer son boss" en 2011 avec Kevin Spacey. Elle revient sur les écrans américains à la fin du mois avec le film "Joyeuse Fête des mères".Elle fait également partie de notre palmarès sur les 50 actrices les plus sexy !AFP/Relaxnews
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Les gènes jouent un rôle sur l'âge des premiers rapports sexuels


Des facteurs tels que la stabilité de la famille, la pression des pairs et le type de personnalité sont connus pour influencer le choix des adolescents d'avoir ou non des relations sexuelles jeunes. Mais les facteurs génétiques pourraient expliquer "environ 25 % des différences dans les âges où les gens commencent à avoir des relations sexuelles", selon Ken Ong de l'Université de Cambridge, co-auteur de l'étude publiée lundi dans la revue Nature Genetics.Les gènes influent sur le comportement sexuelLes gènes passent déjà pour jouer un rôle sur l'âge de la puberté, ou le fait d'avoir ou non une personnalité prédisposée à la prise de risques. Ils auraient également une influence sur l'âge du premier rapport sexuel.Les auteurs de l'étude ont analysé les gènes de plus de 125.000 personnes (59 357 hommes et 66 310 femmes âgés de 40 à 69 ans) participant à une étude sur la santé britannique. Ils ont noté une association entre 38 variations de gènes et l'âge auquel ils ont eu leur premier rapport. Ils ont recoupé ces données avec celles concernant 241.000 personnes en Islande et 20.000 aux Etats-Unis, portant le total à plus de 380.000 personnes.Beaucoup de ces variations génétiques sont localisés au niveau ou près de gènes impliqués dans le développement cérébral ou la formation des connexions neuronales. L'analyse des auteurs montre qu'ils sont également liées à d'autres traits de reproduction, tels que l'âge à la naissance du premier enfant, et le nombre d'enfants. "Un exemple est le variant génétique de CADM2, un gène qui contrôle les connexions entre les neurones et l'activité cérébrale, que nous avons identifié comme étant associé à des comportements à risque, un âge précoce du premier rapport sexuel et un nombre élevé d'enfants" précise le Dr John Perry, principal auteur de l'étude.Selon les chercheurs, l'influence des facteurs génétiques est restée constante des années 1950 aux années 1980 "ce qui montre que les facteurs génétiques sont pertinents dans un large éventail de cultures et d'attitudes sociales".Identifier les enfants les plus enclins à des comportements à risquesDes recherches antérieures avaient montré que les personnes qui commencent à avoir des rapports sexuels à un jeune âge sont plus susceptibles d'avoir de mauvais résultats à l'école et une moins bonne santé physique et mentale.La puberté précoce a, en outre, été associée à un risque plus élevé pour le diabète, les maladies cardiaques et certains cancers.La plupart des recherches ont mis l'accent sur les causes socio-culturelles des rapports sexuels des adolescents.L'équipe espère que ces résultats aideront à identifier et à aider les enfants plus enclins à se livrer à des comportements à risques. Avec AFP/RelaxnewsSources : Physical and neurobehavioral determinants of reproductive onset and success - Felix D Ray et al. - Nature Genetics (2016) Published online 18 April 2016 (abstract accessible en ligne)Communiqué de l'Universitéde Cambridge - avril 2016
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La circoncision ne réduit pas le plaisir sexuel


Objectif : couper court à un débat sur la circoncisionDepuis longtemps, l’hypothèse est que le gland découvert par l’ablation du prépuce va voir les couches superficielles de sa peau s'épaissir progressivement. Ce phénomène appelé kératinisation pourrait entraîner une perte de sensibilité. Mais peu d’études ont tenté de répondre à cette question, pourtant largement débattue.Une étude scientifique à la méthodologie étonnante s’est penchée sur la question. Les chercheurs ont voulu répondre à deux questions : Le gland des hommes circoncis est-il moins sensible que celui des autres hommes ? Le prépuce fortement innervé est-il plus sensible que les autres régions du pénis ? Une méthodologie qui laisse circonspect…Au total, 62 hommes âgés de 18 à 37 ans (30 circoncis, 32 "intacts") ont participé à l'étude. Des tests de détection à quatre stimuli (détection au toucher, à la douleur, à la chaleur, au seuil de douleur thermique) ont été réalisés à plusieurs endroits du pénis : au niveau du gland, sur la ligne médiane, à proximité de la ligne médiane et sur le prépuce, s’il était présent. Par ailleurs, les mêmes tests ont été réalisés sur l’avant-bras pour chaque individu, comme test de contrôle.Selon les auteurs, les stimuli liés à la chaleur ou la douleur stimuleraient des fibres nerveuses plus en lien avec le plaisir sexuel que la simple détection tactile, privilégiée lors des précédentes études.L’avant-bras excité comme un prépuce…Les résultats de cette étude singulière sont que : Contrairement à de précédentes études qui avaient noté une moindre sensibilité du gland, les hommes circoncis de l’étude n’ont pas présenté une moindre sensibilité quelle que soit la région du pénis stimulée. Ce qui réfuterait l’hypothèse de la kératinisation. Le prépuce semblait avoir une sensibilité similaire à celle du site de contrôle sur l'avant-bras pour tout type de stimulus testé. Sachant que d'autres sites génitaux (comme le gland ou la ligne médiane) étaient plus sensibles aux stimuli douloureux que l'avant-bras, l'ablation du prépuce fortement innervé ne supprimerait donc pas la partie la plus sensible du pénis. La fonction sexuelle évaluée par une échelle standardisée (International Index of Erectile Functionning - IIEF) a évaluée différents domaines au cours des quatre dernières semaines : satisfaction des rapports sexuels, fonction orgasmique, désir sexuel et satisfaction globale… Et là encore, aucune différence entre les groupes n’a été observée.  Pour Jennifer Bossio de la Queen’s University dans l’Ontario, principal auteur de cette recherche, "Cette étude indique que la circoncision néonatale n’est pas associée à des changements de sensibilité du pénis et fournit des données préliminaires suggérant que le prépuce n’est pas la partie la plus sensible du pénis". Source : Examining Penile Sensitivity in Neonatally Circumcised and Intact Men Using Quantitative Sensory Testing - Jennifer A. Bossio, Caroline F. Pukall, Stephen S. Steele - The Journal of Urology – (abstract accessible en ligne)
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Attraction sexuelle génétique : quand une mère et son fils tombent amoureux


Une attirance qui survient lors de retrouvailles tardivesL’attraction sexuelle génétique (GSA) est un terme inventé dans les années 1980 par Barbara Gonyo, fondatrice d’un groupe de soutien, basé à Chicago, créé pour les personnes adoptées et leurs nouveaux parents. La GSA se caractérise par une attirance sexuelle, réciproque ou non, entre deux personnes génétiquement proches comme un frère et une sœur, une mère et son fils ou un père et sa fille. Cette attirance survient lors de retrouvailles tardives. Les deux personnes qui tombent amoureuses l’une de l’autre se sont perdues de vue ou ont été séparées, soit à la naissance ou la petite enfance et lorsqu’elles se retrouvent ne se reconnaissent pas en tant que membres d’une même famille. Il s’agit pour elles d’une nouvelle rencontre.L'effet WestermarckLa GSA ne peut survenir (ou très rarement) quand les deux personnes ont grandi ensemble. Un mécanisme naturel fait qu’une personne, dès son plus jeune âge, rejette instinctivement les sentiments amoureux et les pulsions sexuelles éprouvées envers des personnes vivant avec elle. C’est l’effet Westermarck qui contredit donc la théorie de Freud sur le tabou de l’inceste. En effet, pour Freud, l’enfant développe, à un certain moment de sa vie, un fantasme inconscient d’entretenir un rapport sexuel avec le parent du sexe opposé. C’est ce qu’on appelle le complexe d’Œdipe.La GSA est-elle répréhensible par la loi ?En France, l’inceste, dans le cas d’une relation consentie entre deux personnes sexuellement majeures qui sont parents à un degré où le mariage est interdit, ne constitue pas une infraction spécifique. "Si la relation est librement consentie et concerne deux personnes qui ont dépassé l'âge de la majorité sexuelle, fixé à quinze ans dans notre pays, elle ne tombe pas sous le coup du code pénal", précise le Sénat sur son site.Annabelle IglesiasSource : The New Day
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Attentats : une nouvelle thérapie pour les victimes souffrant de stress post-traumatique




Afin d’aider les victimes des attentats ayant touché la capitale le 13 novembre dernier, l'assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP) s’apprête à lancer une nouvelle thérapie pour les victimes souffrant encore de stress post-traumatique. Et pour cause, tout juste quatre mois après les attentats, certaines victimes directes ou indirectes souffrent encore d’angoisses liées à ces événements tragiques. Et les dernières attaques de Bruxelles ont ravivé de douloureux souvenirs. Au total, 15 hôpitaux analyseront les effets de ce nouveau traitement.Une thérapie express L’objectif est de venir en aide aux 400 victimes du 13 novembre souffrant de stress post-traumatique grâce à une thérapie express. Concrètement, les patients suivront une séance de prise de parole hebdomadaire pendant six semaines. Et contrairement à une thérapie classique, la prise de parole sera associée à un traitement médicamenteux habituellement utilisé pour les problèmes cardiaques ou l'hypertension, un bêta-bloquant appelé le propranolol.Une thérapie courte qui a déjà porté ses fruitsDéjà testé au Canada, ce traitement apporterait des résultats positifs. "La personne va considérer avec plus de distance ce traumatisme vécu et va atténuer les manifestations de son anxiété. Normalement, un traitement classique peut durer un, deux ans, voire plus. L'idée est de raccourcir la prise en charge", indique sur Europe 1 le professeur Bruno Millet, psychiatre à la Pitié Salpêtrière et coordonnateur de cette étude, qui nécessite le recrutement de volontaires. En effet, les victimes (témoins directs, pompiers, personnes ayant suivis les attentats à la télévision) qui ont été touchés psychologiquement par les attaques de Paris, et qui souffrent encore stress post-traumatiques (réveils nocturnes, peurs incontrôlables dans la vie de tous les jours…) peuvent, s’ils le souhaitent, participer à cette étude.Elodie-Elsy MoreauSource : Europe 1

L'apprentissage de la lecture ne se joue pas qu'en CP




Le Conseil supérieur de l'évaluation du système scolaire (Cnesco) et l'Institut français de l'Education (Ifé) ont dévoilé 47 recommandations effectuées par un jury d'acteurs et usagers de l'école qui ont auditionné des spécialistes, lors d'une conférence organisée en mars à Lyon. Il s'agit d'améliorer cet apprentissage, alors que le vocabulaire des élèves s'est appauvri, et que les écarts se creusent en lecture entre les bons et les mauvais, au détriment des enfants de milieu défavorisé. Au-delà des guerres sur les méthodes d'apprentissage de la lectureLa lecture avait déjà fait l'objet d'une conférence analogue en 2003. "Il ne s'agit pas de remettre en cause ces réflexions, mais de les nourrir", a expliqué à la presse Jean Emile Gombert, professeur en psychologie cognitive des apprentissages et président du jury. Pas non plus de contradiction avec les nouveaux programmes qui entreront en vigueur en septembre, "mais on va plus loin".  "Le consensus dans le milieu scientifique est très fort", a-t-il souligné, "on n'est pas sur des méthodes contre des méthodes". Les recherches du spécialiste de la lecture Roland Goigoux "montrent que le débat sur les méthodes globale ou alphabétique qu'on peut encore voir dans certaines gazettes ne renvoient qu'aux fantasmes de ceux qui écrivent ces articles", a abondé Michel Lussault, président de l'Ifé et du Conseil supérieur des programmes (CSP).  En maternelle, il faut notamment analyser des mots à l'oral, les décomposer, développer la compréhension orale et le vocabulaire. En CP, introduire rapidement au moins une dizaine de "correspondances graphèmes-phomènes" (par exemple O-U = OU), en nombre suffisant pour entretenir la motivation des élèves, même ceux en difficulté. Mettre aussi en place "une pratique importante pour assurer l'automatisation", suivant le principe que "plus on lit, mieux on lit". Et en fonction des objectifs, varier les supports de lecture.Les jeux ne sont pas faits en CP: la lecture "suppose un apprentissage continu de l'école maternelle jusqu'à la fin de la scolarité", préconise le jury. Il prône aussi "un temps de formation conséquent sur comment les élèves apprennent à lire" pour les professeurs de primaire comme du secondaire.Commencer très tôt"Souvent, on se focalise souvent sur le début, le passage maternelle-CP. Or les habilités de lecture progressent pendant tout le temps de la scolarité", a expliqué M. Gombert. "Il faut commencer très tôt, mais on peut, en gardant les élèves dans les circuits normaux de scolarisation, les accompagner continûment dans cette maîtrise, s'il le faut jusqu'au collège inclus", a dit M. Lussault, à revers de "ceux qui pensent que rien n'est plus possible" après le CP. Mercredi, Nicolas Sarkozy a proposé la prise en charge des élèves en difficulté dans un "CP plus". "A quoi sert-il de faire passer dans la classe supérieure un élève qui ne maîtrise pas la lecture ?", a écrit le président des Républicains dans Le Figaro. La maîtrise de la lecture concerne "l'ensemble des disciplines", c'est "un verrou qui, s'il n'est pas levé, va mettre en danger l'ensemble des apprentissages", a relevé M. Gombert. "Si l'on n'est pas capable de comprendre les énoncés en histoire, en géographie, en physique, en mathématiques, alors il y aura au bout du compte un problème", a abondé M. Lussault.Interrogé sur la probabilité que les recommandations se diffusent effectivement dans les classes, il a rétorqué:  "la ministre semble vouloir faire de l'apprentissage de la lecture, dans des perspectives de compréhension et de facilitation des apprentissages, un axe d'intervention pour le prochain mois. La recherche de Roland Goigoux, cette conférence de consensus et la mise en oeuvre des nouveaux programmes sont des éléments convergents qui devraient permettre à l'institution de s'emparer de ça".  AFP/RelaxnewsPhoto : ©Stephanie Frey/shutterstock.com

"Inme", le sex toy à composer soi-même


"Inme" est un vibromasseur pas comme les autres. Celui-ci se compose de plusieurs éléments, qui varient dans leur texture, leur forme, leur couleur ou encore leur mission, que ce soit la vibration, la rotation, mais aussi la baisse et la hausse de la température.Si l'instrument est manipulable manuellement, il peut aussi être contrôlé via une application de téléphone. De plus, les mouvements peuvent aussi s'adapter au rythme de la musique. Le designer a conçu plusieurs éléments : trois demi-sphères, lisses ou avec des petites boules en relief, ou alors des petites tiges aux extrémités arrondies. On trouve aussi trois cylindres. Le premier présente une surface lisse, le deuxième avec des nervures horizontales et le troisième avec des nervures courbées. Enfin, les utilisateurs de sex toy pourront aussi utiliser une sphère à picots, un anneau (pour maintenir à la main l'ensemble des objets assemblés), et d'autres encore.Totalement flexibles, les connexions des pièces de "Inme" sont étanches à l'air. Enfin, il peut être utilisé sous l'eau jusqu'à 2 mètres de profondeur.L'objet est équipé d'une batterie. Il se recharge totalement, et sans contact, pendant 25 minutes, pour une utilisation de trois http://ift.tt/224O25q : ©Inme
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Quel est le sujet de dispute le plus fréquent au sein des couples ?




Si près d’un quart des amoureux français affirment être toujours sur la même longueur d’onde, et ne jamais se disputer, la majorité des couples se dispute, au moins de temps en temps. Mais, quel est le sujet de discorde le plus fréquent ? Pour le savoir, l'Institut national d'études démographiques (Ined) a réalisé une étude. Au total, 2 016 femmes et 1 474 hommes qui affirmaient connaître souvent des désaccords en couple ont participé à cette enquête.L'éducation des enfants, premier sujet de dispute pour les femmesD’après cette enquête, les motifs de dispute les plus fréquents sont les tâches ménagères, les parents, l'éducation des enfants et l'argent. Mais en fonction du sexe, le sujet de dispute récurrent change. En effet, les femmes s’énervent avant tout avec leur compagnon à propos de l'éducation des enfants. Vient ensuite les parents et les tâches ménagères. Chez les hommes, ce sont les parents qui se révèlent la source principale de conflit. On retrouve ensuite les tâches ménagères, puis l’argent et l’éducation des enfants, exæquo à la 3ème place.Des différences selon les couples Selon qu’un couple file le parfait amour ou pense à se séparer, les sujets de dispute diffèrent. Ainsi, d’après cette enquête, ce sont davantage les couples qui se disputent calmement et qui se disent très satisfaits de leur relation qui "bataillent" au sujet des beaux-parents. Or, chez ceux ayant récemment envisagé une rupture, le sujet le plus épineux est les tâches ménagères. Un thème qui n’arrive qu’en troisième position chez ceux qui se déclarent heureux dans leur ménage ! Elodie MoreauSource : Ined

Autisme : le spot du ministère crée la polémique




Présentée mardi par la secrétaire d'État aux Personnes handicapées et à la lutte contre l'exclusion Ségolène Neuville, cette campagne de communication, via un film et une expérience interactive sur internet, vise à "sensibiliser et changer le regard sur l'autisme", mais aussi à "informer" le grand public. Cette campagne précède la mise en place d'un site internet gouvernemental dédié aux troubles du spectre autistique (TSA), comme prévu par le 3ème Plan autisme (2013-2017) doté de 205 millions d'euros.Une campagne pour changer le regard sur l'autisme"Les enfants et adultes autistes souffrent du regard porté sur eux. Les parents témoignent sans relâche des idées fausses, des difficultés, voire des discriminations que leurs enfants, mais aussi eux-mêmes, subissent au quotidien", rappelle la ministre pour qui il faut donc "agir sans attendre pour toucher le grand public". Dès mercredi et jusqu'au 12 avril, "Elliot", un petit film de Nicolas Humbert mettant en scène un enfant autiste qui participe à un stage de théâtre, sera diffusé dans 80 cinémas en France métropolitaine.Dis moi Elliot par affairessociales-et-santeParallèlement, une "expérience digitale" sera proposée dans l'espace autisme du site du ministère des Affaires sociales et de la Santé. Appelée "Dis-moi Elliot", elle se compose de quatre séquences interactives illustrant les troubles liés à l'autisme (résistance au changement, troubles de la communication, hypersensibilité...) et se conclut sur une partie informative où le film sera aussi accessible.Le ministère espère que les internautes partageront largement leur expérience afin de toucher le plus grand nombre possible de personnes. Il a sollicité à cet effet une dizaine de blogueurs. Un futur site gouvernemental sur l'autismeQuant au futur site gouvernemental, il présentera les connaissances actualisées et validées sur l'autisme, ses signes et caractéristiques, ainsi que les conséquences sur la vie des personnes concernées. Il rassemblera aussi des informations sur les dispositifs d'accompagnement et les professionnels.Selon l'association de parents SOS Autisme, un nouveau-né sur 100 serait atteint de troubles du spectre de l'autisme (TSA) et "650.000 personnes, dont 250.000 enfants", seraient concernées en France.Un spot qui crée la polémiqueAvant même son lancement, ce spot a créé la polémique. Si l'intention de sensibiliser le grand public à ces troubles est louable, le fait d'avoir eu recours à un comédien pour interpréter le rôle d'Eliott et non à un enfant autiste pourrait porter préjudice au message véhiculé, en confisquant la parole aux autistes. De son côté, le réalisateur se défend de cette idée et déclare ""Nous avions besoin de filmer une crise assez musclée. Il était inimaginable de déclencher volontairement une crise chez un enfant autiste. Nous aurions dû le mettre en souffrance". Un argument que réfute certaines associations comme SOS autisme qui prend l'exemple du film "Presque comme les autres" avec Bernard Campan, dans lequel l’enfant du couple est joué par un autiste. Doctissimo est partenaire de cette fiction inspirée du livre de Francis Perrin.Au-delà de cette polémique, de nombreuses associations dénoncent le retard français dans la prise en charge de l'autisme.Dans un manifeste qu'elle veut remettre à François Hollande avant le 2 avril, l'association SOS Autisme présente ses revendications pour améliorer la prise en charge des personnes autistes. De son côté, l'association Vaincre l'autisme regrette qu'à travers ce spot, "le sujet soit basé sur un fond poétique plutôt que de traiter du vrai problème de santé publique qu’est l’autisme" et demande à l'Etat de réaliser des études pour connaître la prévalence et le coût de l'autisme en France, et de diligenter une commission parlementaire pour effectuer un état des lieux de la situation des personnes autistes en France, d'organiser des États généraux ou Assises Nationales pour l’autisme et aux vues des résultats de l’ensemble de ces études, de procéder à la mise en place d’une législation adaptée reconnaissant l’autisme et les besoins spécifiques des personnes autistes, tout en garantissant l’accès à leurs droits communs. Tant sur le plan du dépistage que de la prise en charge ou de la scolarisation ou la formation professionnelle, la France accuse un retard coupable pour les personnes atteintes d'autisme.Avec AFP/RelaxnewsSources : Dossier de presse du ministère des affaires sociales et de la santé - mars 2016Communiqué de SOS autismeCommuniqué de Vaincre l'autisme

Victoria's Secret dévoile son palmarès des filles et des lieux les plus sexy de 2016


En tête de ce classement, la chanteuse Jennifer Lopez a reçu le titre de "Sexy éternelle". De nombreuses sous-catégories permettent de détailler les femmes les plus séduisantes par profession.Kerry Washington s'est vu attribué le grade d'"Actrice la plus sexy", Demi Lovato est la chanteuse la plus séduisante, alors que la joueuse de football olympique Alex Morgan ravit le titre de "Sportive la plus sexy". La star de télé et entrepreneur à succès Sofia Vergara devient "le magnat le plus sexy", et l'actrice suédoise Alicia Vikander est "l'import international le plus sexy'.En termes de mode et de beauté, la génération Y est dûment représentée. Kylie Jenner s'octroie le titre de "preneuse de risque la plus sexy", sa copine Hailey Baldwin devient le mannequin maillot de bain le plus séduisant, alors que la chanteuse Selena Gomez ravit le titre du "Look de tapis rouge le plus sexy". La chanteuse anglaise Ellie Goulding a les lèvres les plus séduisantes de l'année alors que ce sont les jambes de Julianne Hough que Victoria's Secret tient à honorer.Le public a quant à lui voté pour la vloggueuse mode et beauté Zoe Sugg, couronnée "star de la beauté la plus sexy".Mais ce classement ne se limite pas aux femmes. Pippa, le bulldog du mannequin Chrissy Teigen, devient "l'ami à poils le plus sexy de l'année". Sans surprise, Paris remporte le titre de "ville le plus sexy du monde". Autre catégorie étonnante, celle de la distribution de série télé la plus sexy, c'est le show "Quantico" sur Netflix qui remporte le titre.Consulter l'intégralité de ce classement sur http://ift.tt/1MH3hdA : ©AFP PHOTO/FREDERIC J. BROWN /
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Les hommes les plus "virils" sont moins honnêtes sur leurs symptômes




"Pourquoi les hommes meurent-ils plus tôt que les femmes ?". Cette question est le point de départ de l'étude de Diana Sanchez, professeur agrégée de psychologie à l'université Rutgers (Etats-Unis) et de Mary Himmelstein, doctorante. Ces travaux montrent que les hommes qui partagent les convictions traditionnelles de masculinité - bravoure, courage -, selon lesquelles un homme doit faire preuve de retenue dans l'expression de ses émotions, étaient plus susceptibles d'ignorer leurs problèmes de santé ou tout du moins d'en repousser l'échéance. Les hommes piégés par des stéréotypes de virilitéPour parvenir à de telles constatations, elles ont sélectionné 250 participants, tous des hommes. Ces derniers ont dû remplir un questionnaire destiné à recueillir leur opinion en matière de virilité, ainsi que leurs préférences quant au choix du médecin. Plus le score des volontaires était élevé en matière de virilité et plus ils étaient enclins à choisir un praticien homme, partant du postulat qu'ils sont plus compétents que leurs collègues féminins, remarquent les chercheurs.Elles ont ensuite recruté 250 étudiants parmi l'université et les ont soumis au même questionnaire. Chacun a également été interrogé sur son état de santé par des futurs médecins ou infirmiers de sexe masculin et féminin.Paradoxalement, plus le score obtenu à l'échelle de masculinité était élevé et moins les sujets discutaient de façon franche de leurs symptômes ou état de santé avec les praticiens hommes. "C'est parce qu'ils ne veulent pas montrer de signes de faiblesse ni de dépendance face à un autre homme", souligne Diana Sanchez.Les hommes plus honnêtes avec les médecins femmesToutefois, ces mêmes volontaires se livraient plus face à des médecins femmes remarquent encore les deux auteures. Des résultats similaires avaient été publiés par le duo en 2014 dans le Journal of Health Psychology. Elles y montraient que les hommes ayant des opinions fortement traditionnelles sur la masculinité étaient aussi moins enclins à solliciter une aide médicale, avaient plutôt tendance à minimiser leurs symptômes et à avoir de moins bons résultats d'examens de santé que les femmes ou les hommes ne partageant pas de telles idées."Les hommes peuvent s'attendre à mourir 5 ans plus tôt que les femmes et les différences physiologiques n'expliquent pas cet écart", précise Diana http://ift.tt/1oaxdsi :Masculinity in the doctor's office: Masculinity, gendered doctor preference and doctor–patient communication - Mary S. Himmelstein, Diana T. Sanchez - Preventive Medicine, Volume 84, March 2016, Pages 34-40 (abstract accessible en ligne)Masculinity impediments: Internalized masculinity contributes to healthcare avoidance in men and women - Mary S Himmelstein and Diana T Sanchez - J Health Psychol, 1359105314551623, first published on October 7, 2014 (abstract accessible en ligne)Photo : ©kali9/Istock.com

La toxoplasmose pourrait être liée à des accès de colère




Selon les auteurs de cet article, au cours des dernières années, plusieurs études associent l’infection latente (c’est-à-dire, ne provoquant pas de symptômes) par le parasite Toxoplasma gondii avec des troubles psychiatriques sévères comme la schizophrénie ou des comportements suicidaires. Selon les auteurs, le parasite peut, chez certaines personnes en bonne santé, résider dans des formes à croissance lente au niveau du tissu cérébral, avec des réactivations intermittentes. Ces caractéristiques pourraient expliquer cette relation entre le parasite et des troubles psychiatriques, en particulier des comportements agressifs et suicidaires.Une relation entre le toxoplasme et le trouble intermittent explosifReconnu dans le DSM5 (5ème édition du manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux de l’association américaine de psychiatrie) le trouble intermittent explosif (TEI) est un trouble psychiatrique caractérisé par des explosions de colère verbale ou physique qui sont récurrentes, impulsives, et qui sont disproportionnées par rapport aux situations qui les déclenchent.Dans cette étude conduite à l’Université de Chicago, les chercheurs ont recruté 358 adultes ayant été évalués pour savoir s’ils avaient des troubles de la personnalité dont un TEI mais aussi d’autres troubles comme la colère, l’impulsivité, la dépression ou l’anxiété. Les volontaires ont ainsi été divisés en 3 groupes : un tiers avaient un TEI, un autre tiers sans antécédents ni traits psychiatriques (groupe témoin) et un tiers avait un trouble psychiatrique autre qu’un TIE.Les chercheurs ont ensuite recherché la présence de Toxoplasma gondii chez tous les sujets et ont retrouvé le parasite chez 21,8 % des personnes ayant un TEI, contre 16 % chez ceux ayant un autre trouble psychiatrique et 9,1 % dans le groupe des sujets sans trouble psychiatrique. Autrement dit, la présence du parasite était plus de 2 fois supérieure chez les personnes ayant un TEI, par rapport aux sujets "sains".Une relation de cause à effet qui reste à démontrerMalgré ces résultats, les chercheurs restent prudents et précisent que ces données ne permettent pas de confirmer un lien direct entre Toxoplasma gondii et comportements agressifs ou TEI. Cependant, ils précisent que leurs résultats sont concordants avec des études précédentes liant le parasite à des comportements agressifs ou suicidaires mais que des recherches sont encore nécessaires pour établir un lien biologique entre ces troubles psychiatriques et le parasite. Il est donc encore un peu tôt pour accuser votre félin d'être à l'origine de votre mauvaise humeur...Dr Jesus CardenasSource : Coccaro EF, Lee R, Groer MW, Can A et al. Toxoplasma gondii infection : ralationship with aggression in psychiatric subjects. J Clin Psychiatry 77: 3, March 2016 (article en ligne).

Non, les blondes ne sont pas plus bêtes que les autres !




Les clichés ont la vie dure ! Quelle que soit notre apparence, les stéréotypes nous collent à la peau ! Et la discrimination basée sur l'apparence physique peut avoir des conséquences économiques sérieuses. En effet, les stéréotypes ont souvent un impact sur l'embauche, la promotion et les expériences sociales. Et comme l’indique, une étude parue dans Economics Bulletin, les employeurs qui recherchent les éléments les plus performants se laissent parfois influencer par les idées reçues notamment à l’égard… des blondes ! "Un mythe persistant aux États-Unis (et en Occident, ndlr) est que les femmes aux cheveux blonds sont plus belles, mais moins intelligentes que les femmes avec d'autres couleurs de cheveux", indique Zagorsky, un scientifique à l'Université de l'Ohio. Afin de renverser cette théorie, ce chercheur et son équipe ont donc mené une vaste étude.Le QI des blondes supérieur à la moyenne ! Pour mener à bien cette recherche et déterminer si la couleur des cheveux a un quelconque rapport avec l'intelligence, les scientifiques de l'Université l'Ohio ont analysé le QI de plus de 10 000 hommes et femmes. Ils se sont appuyés sur l’étude NLSY79, une vaste enquête américaine représentative de la population, prenant en compte le quotient intellectuel d’hommes et de femmes selon la couleur de leurs cheveux. Afin d’éliminer tout préjugé racial, les afro-américaines et les hispaniques n’ont pas été pris en compte.Chaque participant a répondu au test de qualification des forces armées, un examen utilisé par le Pentagone pour déterminer l'intelligence de toutes les recrues.Et le résultat met à mal les clichés sexistes et infondés : les femmes blondes ont un quotient intellectuel moyen plus haut que les autres (103.2 points). Suit ensuite les filles châtains (102.7), rousses (101.2) et brunes (100.5). Au final, les différences sont plus que minimes."Cette étude fournit la preuve incontestable qu'il ne devrait pas y avoir de discrimination contre des blondes basées sur leur intelligence", souligne l'auteur Jay Zagorsky.Et du côté des hommes ?Chez les hommes, les résultats étaient différents. Les blonds affichaient un quotient intellectuel moyen de 103.9, légèrement plus bas que la moyenne d'hommes aux cheveux châtains (104.4), mais au-dessus des roux (100.5) et des bruns (100.1).Si cette étude peut prêter à sourire, n’oublions pas que cela relève du bon sens. Une couleur de cheveux ou… de peau n’impacte en rien l’intelligence. Aux mœurs d’évoluer afin de ne plus faire de distinctions insensées et infondées entre chacun.Elodie-Elsy MoreauSource : Economics Bulletin (données disponibles en ligne)

Autisme : les parents seront-ils enfin entendus ?




Prise en charge de l’autisme : la France a des années de retardChaque année, le constat est le même et la succession des plans Autisme affublés de moyens dérisoires ne change rien au retard accumulé par la France dans ce domaine après des années de prise en charge psychanalytique inadaptée. Un retard qui laisse des milliers de familles désespérément seules. Des familles qui doivent se battre pour que leur enfant soit pris en charge correctement, soit scolarisé comme le prévoit la loi (actuellement seuls 2 sur 10 le sont) et pour réussir à trouver l’argent nécessaire aux soins non remboursés par la Sécurité sociale.La prise en charge des enfants autistes dans notre pays est une catastrophe et une honte pour laquelle la France a déjà été condamnée (le tribunal administratif de Paris a condamné l’Etat à verser 240 000 euros à 7 familles pour carence de prise en charge de leurs enfants), rappelée à l’ordre par le Conseil de l’Europe concernant la scolarisation et la formation professionnelle des jeunes autistes. Plus qu’un retard, la France offre aux enfants en situation de handicap et à leurs familles bien peu d’aide...Face à ce que vivent ces familles, l’association SOS autisme fait 10 propositions dans un manifeste qui doit être remis à François Hollande avant la journée de l'autisme du 2 avril.Peu de prise en charge par la Sécurité socialeUn nouveau-né sur 100 serait atteint de troubles du spectre de l'autisme (TSA), et "650.000 personnes, dont 250 000 enfants", seraient concernées en France, selon SOS Autisme. "On ne guérit pas de l'autisme, mais la précocité du diagnostic, associée à une prise en charge adaptée, suivant les préconisations de la Haute autorité de santé (HAS), permettent de faire progresser l'enfant au point d'avoir une vie « normale »", souligne l'association. Ces préconisations de la HAS datent de 2012, elles reconnaissaient enfin que l’approche psychanalytique était "non consensuelle" et que des méthodes éducatives et comportementales (comme ABA ou TEACCH par exemple) devaient être privilégiée dans le cadre d’une approche globale, personnalisée et précoce. Mais au-delà de cette mise à jour tardive, la France n’a pas mis les moyens permettant une telle prise en charge.Parmi les 10 propositions évoquées par SOS autisme, l'association demande une prise en charge par la Sécurité sociale de soins prescrits par les médecins mais non remboursés (psychologues spécialisés en méthode ABA, psychomotriciens, ergothérapeutes…). Aujourd’hui, seules les séances d'orthophonie sont remboursées. "La prise en charge correcte d'un enfant autiste se situe entre 2.000 et 3.000 euros par mois, dépenses impossibles pour la grande majorité des familles", souligne le manifeste.Pour un accueil généralisé dans les écolesSelon l’enquête Doctissimo-FondaMental menée auprès de 700 familles en avril 2015, trop peu d’enfants bénéficient d’un parcours de soin idéal. Du diagnostic à la scolarisation en passant par la prise en charge, les témoignages des parents révèlent un véritable parcours du combattant au quotidien.En 2014, l’association SOS autisme avait révélé qu’à chaque étape de la scolarisation obligatoire, le nombre d’enfants atteints d’autisme scolarisés diminue. Ainsi, si 87 % des enfants autistes qui sont scolarisés en milieu ordinaire le sont en école élémentaire, seulement 11 % le sont au collège et 1,2 % au lycée. De nombreuses familles n’ont d’autre choix que de quitter le territoire national aux fins de scolarisation en milieu scolaire de leurs enfants autistes, ce qui constitue une discrimination directe à leur encontre. D’après l’association, "entre 3000 et 5000 personnes handicapées françaises, parmi lesquelles des personnes autistes, sont prises en charge en Belgique dans les 26 établissement conventionnés, aux frais des conseils généraux et de l’assurance maladie".Le manifeste appelle à un accueil généralisé des enfants autistes dans les écoles publiques, ce qui implique des recrutements et des formatons spécialisées pour les AVS, des filières universitaires plus nombreuses pour former les professionnels de santé aux méthodes éducatives et une campagne d’information pour favoriser l’accès à l’emploi des personnes autistes. La nouvelle campagne "Je suis autiste et alors ?" diffusée à partir d’aujourd’hui a mobilisé une vingtaine de personnalités qui apparaissent dans autant de clips pour lutter contre les préjugés. Si l’on a coutume de dire que le niveau de civilisation d'une société se mesure au traitement qu’elle réserve aux plus faibles, alors la France se grandirait en répondant enfin au cri d’alarme de ces parents d’enfants autistes. David Bême Source : SOS Autisme – mars 2016